Micro-mobilité en entreprise : Pourquoi investir dans une flotte de vélos ou trottinettes ?

La micro-mobilité c’est quoi ?

La micro-mobilité regroupe des moyens de déplacements doux, légers et pratiques qui se transportent facilement. On trouve sous cette appellation les vélos à assistance électrique ou musculaires ainsi qu’une nouvelle génération de moyens de transport électriques, plus communément regroupés sous le terme d’Engins de Déplacement Personnels Motorisés (EDPM). Le plus développé d’entre eux est la trottinette électrique, avec aujourd’hui 2,5 millions d’utilisateurs en France (Source #Fédération des professionnels de la micro-mobilité- FPMM).

La Loi d’Orientation des Mobilités (LOM) du 24 décembre 2019, réforme en profondeur le cadre général des politiques de mobilités. Dans ce contexte, les EDPM sont définis comme des Véhicules Terrestres à Moteur (VTM) et sont donc soumis à l’obligation d’assurance.

Partage de la route, prise en main trottinettes électriques… retrouvez toutes nos formations dans notre catalogue.

Quels sont les avantages d’investir dans une flotte de micro-mobilités ?

Mettre à disposition pour le déplacement des salariés une flotte de micro-mobilités, notamment pour les trajets domicile-travail, revêt de nombreux atouts :

  • ponctualité accrue de vos salariés qui sont moins soumis aux aléas de la circulation,
  • baisse du taux d’absentéisme et amélioration de la santé au travail grâce à l’activité physique qui améliore l’hygiène de vie,
  • fidélisation des collaborateurs au travers de l’enrichissement de votre plan de mobilité. Pour les salariés plus éloignés de leur lieu de travail, l’utilisation de vélos ou trottinettes électriques peut contribuer à une multimodalité avec les transports en commun et ainsi faciliter les déplacements sur les derniers kilomètres,
  • valorisation externe de votre marque employeur,
  • amélioration de l’impact environnemental de votre entreprise. Grâce à ce mode de transport alternatif à l’automobile, les usagers réduisent leurs émissions de gaz à effet de serre dans leurs trajets domicile-travail et contribuent à la fluidité du trafic. De plus, les micro-mobilités sont une véritable alternative de déplacement dans les centres-villes et en particulier dans les Zones à Faibles Emissions mobilité (ZFE-m),
  • obtention d’avantages financiers pour l’employeurPour plus d’informations, vous pouvez consulter le site du gouvernement, de l’URSSAF, la CARSAT ou encore de la CPAM,
  • développement de votre démarche RSE (Responsabilité Sociale d’Entreprise).

Passez à la pratique avec SECURIDER !

La mise à disposition d’une flotte de micro-mobilités est un premier pas, mais il ne faut pas perdre de vue que la première cause de mortalité au travail reste le risque routier. Pour être tout à fait bénéfique pour le salarié et l’entreprise, il est de la responsabilité de l’employeur de former ses salariés. En effet, ce n’est pas parce que vos salariés ont appris à faire du vélo ou de la trottinette enfant à la campagne qu’ils sont capables d’affronter aujourd’hui la jungle urbaine et qu’ils sont à même de partager la route de manière sereine et sûre.

SECURIDER construit des formations à destination de tous les salariés d’entreprise quel que soit leur mode de déplacement (voiture, vélo, trottinette, marche, …). Ces formations questionnent sur le comportement de chacun au quotidien, permettent d’apprendre les bonnes pratiques et de revoir les règles de circulation. Nous analysons systématiquement vos besoins et nous concevons, pour vous, une formation sur-mesure adaptée aux particularités de votre entreprise.

Pour plus d’informations, consultez notre catalogue et n’hésitez pas nous contacter :

  • contact[at]securider.fr ou 04 67 72 74 68

A 2-roues, la carrosserie, c’est vous

En moto comme en scooter, l’équipement, c’est votre deuxième peau. C’est pourquoi la Mutuelle des Motards a inclus d’office dans ses contrats moto le remboursement de votre équipement en cas de chute. Mieux vaut donc prévenir que guérir, et investir dans un équipement complet et de qualité. Le casque, élément incontournable, ne suffit pas, notamment pour vous protéger en cas de chute, éviter des brûlures (ou dermabrasions), voire des fractures. Retour sur les indispensables vêtements de protection.

Motards et scootéristes, un équipement inégal

Si la majorité des motards s'équipe suffisamment pour affronter les dangers de la rue et de la route, nombre d'entre eux (environ 50%) ne développent malheureusement ces bons réflexes qu'après une première chute, synonyme de séquelles dans deux tiers des cas. Il en va de même chez les scootéristes : dès la première chute, la grande désinvolture dont ils font preuve en matière d'équipement est souvent guérie. Malheureusement, les conducteurs de cyclos et de scooters sont d'emblée beaucoup plus nombreux que les motards à négliger la question de l'équipement. La palme revenant au livreur de pizza coiffé d'un jet non-attaché, circulant en baskets, pantalon de toile et t-shirt et zigzaguant cigarette en bouche et sans gants : en cas d’accident, synonyme de frottement corsé avec le bitume, notre livreur ressemblera comme deux gouttes d'eau à sa livraison. Avec ou sans anchois ?

Des statistiques qui font mal

Selon une étude 2-Roues Lab menée récemment, 95 % des motards circulant en grosses cylindrées portent un blouson, cuir ou textile. Mais de leur côté, 46% des scootéristes avouent ne pas toujours porter un blouson. Si la majorité des motards portent des gants, 46 % des scootéristes ne protègent pas leurs mains. Une tendance qui devrait logiquement s’inverser avec l’obligation, depuis novembre 2016, de porter des gants homologués pour tout conducteur et passager de deux-roues motorisé. Une tendance qui a conduit la Mutuelle des Motards, pour inciter les conducteurs de 2-roues à mieux se protéger, à inclure la garantie Équipement conducteur dans tous ses contrats 2-roues : celle-ci prévoit l'indemnisation de l’ensemble de vos vêtements de protection à concurrence de 1 000 € (jusqu'à 2000 € si l’option Équipement conducteur optimal a été souscrite), sans franchise en cas d'accident.

S'équiper, oui mais comment ?

Matériaux ultralégers pour la belle saison, vêtements de ville dissimulant totalement les protections indispensables (épaulettes, coudières, dorsale), lignes féminines... Il est définitivement révolu, le temps où les fabricants ne vous proposaient que des tenues singeant les champions de moto et ne vous laissant pas le choix entre frire et cuire au soleil. Quel que soit votre choix (cuir ou synthétique, cordura ou kevlar, imperméable ou hyperventilé), épluchez d'abord la presse spécialisée et choisissez votre équipement en fonction des tests réalisés : ceux de Moto Magazine font depuis longtemps référence, tant au niveau de la résistance des vêtements (testés à même la piste par les essayeurs !) que pour leur rapport qualité-prix.

Le blouson : cuir ou synthétique ?

N’oubliez pas que le blouson ou la veste se portent quelle que soit la saison, et se déclinent en trois grandes catégories : été, mi-saison et hiver. Choisissez-le avec des protections aux coudes, aux épaules et dans le dos. Inutile de rechercher les plus rigides, certaines matières combinent souplesse et qualités absorbantes. Évitez les dorsales en mousse qui ne feront guère office de protection. Préférez également des protections amovibles afin de pouvoir laver votre blouson de temps en temps. En ce qui concerne la matière, les magasins spécialisés proposent en général un large choix : notamment cordura (fibre textile extrêmement résistante). Si les équipements en cuir sont les plus chers, ils sont souvent aussi les plus résistants. Mais les progrès du synthétique sont constants.

Le pantalon : l'embarras du choix

Vous pensiez rouler en jean ? C’est mieux que rien, mieux que les pantalons en toile en tout cas (ils fondent sur les plaies lors des glissades en raison de la chaleur provoquée par les frottements), mais en cas de cascade, gare à la casse. Le genou a tendance à devancer le reste du corps en direction du bitume et la jambe se retrouve parfois coincée sous la moto. Si vous tenez absolument au style du denim, autant opter pour un jean renforcé (la toile est doublée d’aramide ou renforcée par un fil résistant à l’abrasion). Autres solutions, le pantalon en cuir ou en textile. Optez de préférence pour des modèles avec renforts aux genoux, et si vous n’aimez pas votre look cosmonaute, il vous reste la solution du surpantalon, toujours avec les renforts aux genoux. Volontairement très large, il vous permettra de l’enfiler sur votre jean ou pantalon pour aller au travail. Une fois arrivé, vous pouvez l'enlever, ni vu ni connu.

Les gants : désormais obligatoires

Depuis le 20 novembre 2016, il est obligatoire pour tout conducteur et passager d’un deux, trois-roues et quad de porter des gants. Une amende de 3e classe (68 euros) et la perte d’un point de permis sanctionnera les contrevenants. Ces gants doivent porter le marquage CE, sur une étiquette ou l’emballage, pour être mis sur le marché européen et les fabricants doivent établir une déclaration CE de conformité.

Au-delà de l’obligation, ne faites jamais l’impasse sur les gants : en cas de chute, votre premier réflexe sera de tendre les mains devant vous pour amortir le choc, comme si vous étiez à vélo. Brûlures et fractures assurées ! Rien ne vous empêche d’opter pour un modèle chaud et couvrant pour l’hiver et une paire légère et respirante pour l’été… mais surtout ne les oubliez pas. Les meilleurs modèles possèdent des coques pour protéger le dos des mains et les premières phalanges. Vérifiez bien que vous êtes à l’aise dedans, que vous pourrez manipuler facilement les commodos de votre machine, que les coutures ne vous gênent pas et que le système de fermeture au niveau du poignet est suffisant pour ne pas les perdre en cas de chute.

Les bottes : en toutes saisons, c'est possible

En cas de chute, les bottes protègent mollet, malléoles et orteils, les équipements de moto étant dotés de plus de protections antitorsion. À défaut, optez, au moins, pour des chaussures montantes protégeant vos pieds jusqu'au sommet des chevilles, et bannissez les simples baskets ou les chaussures de ville (maquiller vos pieds façon pizza sera la cerise sur le gâteau en cas d'accident). Il existe toutefois désormais des chaussures moto de type baskets renforcées, de quoi ne pas sacrifier le look à l’efficacité. Là encore, vous trouverez un vaste choix dans les magasins spécialisés, que vous soyez à la recherche de bottes de circuit (équipées de sliders en cas de frottement sur la piste et de dispositifs antitorsion), de bottes de balade (chaudes et imperméables), de bottes plus discrètes et plus légères, conçues pour la ville tout en offrant le même niveau de sécurité, ou de baskets moto. Ces dernières années, les progrès des fabricants se sont révélés spectaculaires, notamment concernant le matériel d'été, aussi résistant qu'aéré.

L'équipement pour la piste

Sur circuit, c’est incontestablement la combinaison en cuir avec coudières et genouillères qui résiste le mieux aux glissades prolongées. À défaut, optez pour un blouson et un pantalon tout en cuir, rattachés l’un à l’autre par une fermeture Éclair. Si la dorsale n’est pas systématiquement obligatoire, elle est pourtant indispensable pour protéger votre dos. Passé un certain cap dans la prise d’angle, les « sliders » aussi deviendront nécessaires. Côté gants, choisissez-les renforcés pour protéger les poignets, les phalanges et surtout la tranche des mains côté auriculaire. Avec les mains, ce sont les pieds qui trinquent le plus en cas de chute : privilégiez les bottes qui protègent la malléole et les extrémités ; certains modèles sont équipés de chaussons intérieurs renforcés et de dispositifs antitorsion de la cheville). Prenez garde aux équipements doublés en matière synthétique – la surchauffe en cas de chute est douloureuse. Mieux vaut prévoir des sous-vêtements en coton (caleçon, sous-gants, mi-bas…), un cuissard de vélo sous la combi’ pour éviter les irritations entre les jambes. Et pour vous épargner les ampoules aux mains, des gantelets en strap vendus en pharmacie. Dernier élément important avant le choix de votre combinaison : celle-ci doit être étriquée, car le cuir se détend au fil des mois et va s’adapter à votre morphologie. À prendre aussi impérativement en compte si vous devez acheter une dorsale à bretelles à utiliser sous votre combi'.

Les airbags

Qu’ils se déclinent sous la forme de gilet ou intégrés à une veste, les protections gonflables ont le vent en poupe. La majorité des modèles entourent le buste de coussins qui se déploient lors d’une collision ou d’une éjection, selon leur degré de sophistication. La technologie évolue d’ailleurs très rapidement : les modèles les plus abordables (à partir de 400 €) reliant le pilote à la moto par un cordon sont désormais concurrencés par des produits sans fils grâce une multitude de capteurs intégrés (à partir de 900 €). 

Comment bien s’équiper à 2-roues motorisé ?

Finie l’époque du vieux cuir épais, imbibé d’huile moteur pour être plus souple à porter. Aujourd’hui, on peut être motarde sans sacrifier sa féminité. En scooter au cœur des grands centres urbains ou à moto sur autoroute ou sur circuit, les équipements conjuguent aspects pratiques et protections efficaces.

Comment choisir son équipement moto ou scooter ?

Vous hésitez entre plusieurs équipements ? Pour connaître le meilleur rapport qualité/prix, et surtout savoir quel équipement vous garantira la meilleure protection, sachez que les tests les plus fiables sont réalisés par la presse spécialisée moto, et notamment Moto Magazine.

Pour le choix du casque, rendez-vous sur le site de Certimoov, cette nouvelle méthode scientifique conçue pour tester le niveau de protection des casques, présentée par la Fondation MAIF et l’Université de Strasbourg en partenariat avec la Mutuelle des Motards. Grâce à ces tests complets, les usagers peuvent choisir leur casque selon des critères de sécurité plus réalistes.

Par ailleurs, n'oubliez pas que votre casque et équipement peuvent être remboursés par la Mutuelle des Motards en cas d’accident avec la garantie Casque et Equipement (incluse dans les contrats Authentik, 100 %, Maxiscoot, Side By Side, Starter et Urban Scoot 125, à concurrence de 1 000 € remboursés sans franchise, vétusté déduite).

Quelles sont les normes de protections et visibilité pour l'équipement moto ?

Au-delà de leur protection thermique, veiller à ce que tous les équipements décrits ci-dessous disposent de renforts de protection homologués, attestés par les marquages réglementaires sur les étiquettes :

  • Blouson, pantalon : EN 13595
  • Renforts épaules / coudes / hanches / genoux : EN 1621-1
  • Dorsale : EN 1621-2
  • Gants : EN 13594
  • Bottes : EN 13634

De plus, pour pallier au déficit de visibilité lors de la saison froide, il faut privilégier les équipements dotés d’inserts rétro-réfléchissants.

Blouson de moto

Cuir ou textile, le blouson agréable à porter par grand froid dispose d’un col relevé, d’une coupe assez longue pour recouvrir les reins, de dispositifs de serrage efficaces au niveau des poignets et de rabats de protection sur les fermetures. Comme les gants, il se choisit assez ample pour porter davantage qu’un tee-shirt dessous. De nombreux modèles « toutes saisons » disposent de doublures thermiques amovibles. Pour les autres, un vêtement isolant performant, porté en sous-couche, s’impose. Très efficaces et moins onéreux que les modèles dédiés à la moto, les articles dédiés aux sports de plein air (randonnée, montagne, nautisme, etc.), ont souvent la faveur des motards. Pour les plus frileux, il existe aussi des modèles de gilets, blousons et sous-vestes chauffants. Là encore, les versions dépourvues de fils d’alimentation à relier à la moto sont plus agréables à utiliser.

Bottes de moto

Plus enveloppantes et moins ajustées que les modèles dédiés au circuit, les bottes de route conviennent parfaitement à une utilisation par grand froid.

Toujours penser à les essayer avec de grosses chaussettes lors du choix en boutique, en s’assurant que le pied n’est pas trop serré. Les bottes chauffantes, dotées de batteries, n’ont pas eu le succès commercial escompté. En revanche, les accessoires tels que les semelles ou les chaussettes chauffantes apportent un confort thermique exceptionnel, à condition de s’accommoder du fil qui serpente le long du mollet.

Écharpe et tour de cou pour la moto

Plus efficace et moins encombrant que l’écharpe (qui ne doit pas flotter au vent pour éviter tout risque d’étranglement), le tour de cou se décline lui aussi en différentes matières techniques favorisant la lutte contre le froid. Certains modèles plus enveloppants, de type plastron, apportent une protection supplémentaire au niveau du torse.

Écharpe et tour de cou pour la moto

Plus efficace et moins encombrant que l’écharpe (qui ne doit pas flotter au vent pour éviter tout risque d’étranglement), le tour de cou se décline lui aussi en différentes matières techniques favorisant la lutte contre le froid. Certains modèles plus enveloppants, de type plastron, apportent une protection supplémentaire au niveau du torse.

Bottes de moto

Plus enveloppantes et moins ajustées que les modèles dédiés au circuit, les bottes de route conviennent parfaitement à une utilisation par grand froid.

Toujours penser à les essayer avec de grosses chaussettes lors du choix en boutique, en s’assurant que le pied n’est pas trop serré. Les bottes chauffantes, dotées de batteries, n’ont pas eu le succès commercial escompté. En revanche, les accessoires tels que les semelles ou les chaussettes chauffantes apportent un confort thermique exceptionnel, à condition de s’accommoder du fil qui serpente le long du mollet.

Pantalon de moto d’hiver

Comme les gants et le blouson, le pantalon d’hiver se choisit large et avec une longueur de jambe qui permette de recouvrir les chevilles une fois assis en selle.

Pour ne pas se tromper, en position debout, il doit sembler trop long de 10 à 15 centimètres. Les modèles dotés de membranes techniques aux propriétés variées (thermique, respirabilité, étanchéité, etc.) sont plus agréables à porter que ceux composés de tissu enduit qui engendrent davantage de sudation (et donc de refroidissement). Les surpantalons de pluie, étanches et coupe-vents, sont une alternative efficace sur de courts trajets (10 à 20 km maximum) et plus économique à l’achat (de 30 à 60 €).

Blouson de moto

Cuir ou textile, le blouson agréable à porter par grand froid dispose d’un col relevé, d’une coupe assez longue pour recouvrir les reins, de dispositifs de serrage efficaces au niveau des poignets et de rabats de protection sur les fermetures. Comme les gants, il se choisit assez ample pour porter davantage qu’un tee-shirt dessous. De nombreux modèles « toutes saisons » disposent de doublures thermiques amovibles. Pour les autres, un vêtement isolant performant, porté en sous-couche, s’impose. Très efficaces et moins onéreux que les modèles dédiés à la moto, les articles dédiés aux sports de plein air (randonnée, montagne, nautisme, etc.), ont souvent la faveur des motards. Pour les plus frileux, il existe aussi des modèles de gilets, blousons et sous-vestes chauffants. Là encore, les versions dépourvues de fils d’alimentation à relier à la moto sont plus agréables à utiliser.

Gants de moto pour l’hiver

Quelles que soient les qualités des inserts thermiques, imperméables et respirants qui les composent, les gants d’hiver doivent disposer de longues manchettes pour éviter les courants d’air au niveau des poignets et des avant-bras.

Contrairement aux gants d’été ou de circuit qui se choisissent ajustés, ceux d’hiver seront plus amples afin de permettre le port éventuel de sous-gants et de faciliter l’enfilage et le retrait lorsque les mains sont moites. Plusieurs modèles de gants chauffants, équipés de résistances qui réchauffent le dos de la main et les doigts, sont aussi disponibles. Aujourd’hui, les exemplaires dotés de batteries autonomes dominent le marché au détriment des systèmes filaires reliés à la moto.

Quelles sont les normes de protections et visibilité pour l’équipement moto ?

Au-delà de leur protection thermique, veiller à ce que tous les équipements décrits ci-dessous disposent de renforts de protection homologués, attestés par les marquages réglementaires sur les étiquettes :

  • Blouson, pantalon : EN 13595
  • Renforts épaules / coudes / hanches / genoux : EN 1621-1
  • Dorsale : EN 1621-2
  • Gants : EN 13594
  • Bottes : EN 13634

De plus, pour pallier au déficit de visibilité lors de la saison froide, il faut privilégier les équipements dotés d’inserts rétro-réfléchissants.

Écran de casque moto pour le froid

La buée est le principal désagrément à éviter. Pour garantir une ventilation partielle, mieux vaut choisir l’un des nombreux modèles de casques qui disposent d’un écran réglable sur plusieurs crans afin de pouvoir rester entrouvert. Afin d’éviter la formation de buée, les produits spécifiques à étaler ou pulvériser peuvent suffire pour une utilisation ponctuelle. Mais celles et ceux qui circulent durant toute la saison froide privilégieront le double écran (type Pinlock, Fog City, etc.), remède imparable qui agit à la façon d’un double vitrage.